Tél : 02 98 95 12 31 | Courriel : umih29@wanadoo.fr
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Catherine Quérard, présidente du GHR et Thierry Marx, président de l'UMH viennent d'écrire au ministre de l'Économie afin de lui demander d'organiser dans les meilleurs délais, une réunion au cours de laquelle leurs organisations professionnelles pourront, sous son égide, convenir avec les principaux fournisseurs et distributeurs d'énergie des modalités de renégociation des contrats ayant des tarifs « hors sol » mettant en péril la viabilité de leurs adhérents.
Les deux présidents, eux-mêmes à la tête de plusieurs restaurants à Nantes et Paris, et sous le coup de contrats en électricité à des tarifs exorbitants, expliquent, chiffres à l'appui, la situation financière intenable à laquelle sont confrontés les professionnels de l'hôtellerie-restauration.
Ce protocole entre les deux organisations va faciliter la mise en place
d'actions communes pour mettre en lumière les territoires ruraux et leur richesse.
Comme eux, les restaurateurs subissent l'augmentation des prix des matières premières et de l'énergie et voient leurs marges érodées.
De plus, l'importation de certains produits agricoles, parfois mal contrôlés, représente une concurrence déloyale mettant en péril nos agriculteurs locaux et la qualité de notre offre alimentaire.
Les deux professions défendent également « un prix juste » dans lequel le producteur, le restaurateur et le consommateur doivent se retrouver.
« Nous assurons les agriculteurs de notre soutien. Ils sont les premiers maillons de notre chaine d'approvisionnement. Sans eux, nous ne pourrions pas servir à nos clients des produits frais et de qualité. Aussi, nous encourageons les restaurateurs français à privilégier autant que possible les produits français sur les cartes des restaurants » précise Thierry Marx, président confédéral de l'UMIH.
Le dispositif de restructuration de PGE est possible via la Médiation du crédit qui permet d'accompagner les TPE/PME rencontrant des difficultés de remboursement de leurs dettes bancaires.
En 2022 et 2023, 560 entreprises ont ainsi été accompagnées en leur permettant d'étaler le remboursement du PGE sur une durée de 2 à 4 années supplémentaire par rapport à l'échéancier initial, avec maintien de la garantie de l'État, en parallèle du réaménagement des autres financements bancaires.
Ainsi, Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique a annoncé la reconduction pour trois années supplémentaires de ce dispositif pour prolonger l'accompagnement des TPE/PME qui en présenteraient le besoin. Il a aussi rappelé que dans leur grande majorité, les entreprises ont fait face en 2022 et 2023 au remboursement de leur PGE. D'ores et déjà plus de 50 milliards de crédits ont été intégralement remboursés sur les 107 milliards d'euros octroyés aux TPE/PME depuis 2020.
Cette mesure constitue un premier élément de réponse pour l'UMIH qui n'a eu de cesse d'alerter les pouvoirs publics sur la nécessité de prolonger la durée de remboursement des PGE sur 10 ans.
Par ailleurs, si la plupart des entreprises pourront rembourser leur PGE, elles ne pourront malheureusement pas maintenir un niveau d'investissement exigeant pour améliorer la qualité de l'offre en vue des prochaines échéances (JO, etc.) et relever les défis numériques, écologiques et d'attractivité de nos métiers.
L'UMIH a proposé de nombreuses solutions aux pouvoirs publics et notamment la transformation des PGE en quasi-fonds propres pour libérer de nouvelles capacités d'investissement. Ces propositions ont toutes été refusées par nos interlocuteurs. A terme, il est à craindre une perte de compétitivité de la France vis-à-vis de destinations concurrentes.
Courant mars, deux formations techniques professionnelles intéressantes pour vos salariés, ou pour vous-même.
« Accueil, relation client et gestion des conflits », réagir en préservant l'image de l'entreprise (11 et 12 mars)
« Gestion et encadrement des équipes », dédiée aux responsables d'équipes, managers, dirigeants. ( 25 et 26 mars)
La prise en charge de charge de ces formations peut se faire via AKTO ou AGEFICE.
Si vous avez besoin d'informations, n'hésitez pas à contacter Marie CORNILLOT au 06 07 03 41 99 ou à l'adresse suivante : marie.cornillot@umihformation.fr
 Les pourboires doivent constituer des libéralités (leur versement ne doit pas être imposé aux clients), qu'ils soient remis directement aux salariés en contact avec la clientèle ou qu'ils soient centralisés par l'employeur qui les reverse au personnel au contact du public ;
 L'exonération s'applique aux salariés en contact avec la clientèle dont la rémunération mensuelle n'excède pas 1,6 Smic. Ce seuil de rémunération est calculé sur la base de la durée légale du travail ou de la durée de travail prévue au contrat, augmentée, le cas échéant, du nombre d'heures complémentaires ou supplémentaires (hors majorations auxquelles celles-ci ouvrent droit).
Les pourboires remis volontairement par les clients ne sont pas pris en compte pour déterminer ce seuil.
 Cette exonération s'applique également à l'impôt sur le revenu tout en étant intégrés au revenu fiscal de référence du bénéficiaire.